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 DYONISO. emperador de la hoja

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3 participants
AuteurMessage
Dyoniso
| Reihou no Jûnin Expert |
| Reihou no Jûnin Expert |
Dyoniso


△ INSCRIPTION : 07/04/2014
△ MESSAGES : 17

Carnet Shinobi
△ NIVEAU: 15
△ TALENT: 700
△ EXPÉRIENCE:
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MessageSujet: DYONISO. emperador de la hoja   DYONISO. emperador de la hoja I_icon_minitimeLun 7 Juil - 19:57

Le Joueur
Prénom:...
 Âge: Sixteen.
 Avatar: Indécis.
 Comment as-tu connu le forum ? Ancien membre, d'ailleurs cette présentation date de l'ancienne version. -j'espère qu'elle va servir, étant donné que je ne l'avais même pas finie- Du coup, si vous n'êtes pas convaincu, et que c'est possible, je ne rechigne pas à un teste RP.
 Une question ? Aucune.

 
Le Personnage
Nom & Prénom(s): Dyoniso.
 Âge: Vingt-cinq ans.
 Surnom(s): Dyoniso.
 Village: Reihou.
 Grade souhaité: Chef des hôpitaux.
 Rang souhaité: A ou S, mais être A ne me gêne absolument pas.
 Style de combat:
Profil Psychologique
« JE SUIS TOUJOURS PRÊT A APPRENDRE, BIEN QUE JE N'AIME PAS TOUJOURS QU'ON ME DONNE DES LEÇONS. »

Bien que je ne le veuille vraiment et que je ne le fasse pas exprès, lorsque mon sang s'embrase et que ma langue se délie on me trouve charismatique et asservissant, connaissant les visses de la parole et de l'expression grâce à quelques mois passé aux côtés d'un célèbre écrivain de l'ouest. Habité par l'aisance et le confort lorsqu'il faut animer foules ou manipuler esprits, rien ne me semble trop difficile. Une attraction fascinante et envoûtement au-delà même de celui des plus grands de l'ère première, ma fierté est asservissante et dangereuse, je suis des personnes préférant se relever lorsque tout est perdu que de celle préférant rester coucher à prêcher enfants et femme. Autant dire que jusqu'ici cela m'a réussi puisque je suis toujours debout et la tête haute, je peux toujours me regarder. Lorsqu'une décision est prise, je ne reviens jamais dessus, les choses sont dites et pesées dans la plus absolue des neutralités, à quoi bon changer de plan ? S'adapter n'est cependant pas pareil, rien ne peut être totalement prévu  L'arrogance est quelques choses qui me fait ressembler aux autres, je suis un peu plus eux parce que je veux me différencier d'eux, à croire que je suis comme les autres. Je ne tolère pas l'échec lorsque c'est moi qui dirige, tout doit être fait et je déteste devoir repasser derrière quelques choses d'incorrecte. Ainsi lorsque je dirige, mes décisions sont inflexibles et féroces, attention à ne pas décevoir. Si je devais un jour perdre un combat où seul la pitié me maintient en vie, je crois que c'est moi-même qui choisira le chemin pour l'au-delà à moins qu'il me reste à exécuter. On m'a appris à ne pas haïr et à ne pas marchander dans la colère, je ne peux pas éprouver ces sentiments négatifs qui me feraient retomber de mon piédestal. Ainsi la douleur et l'anxiété font parties des sentiments que j'adore faire éprouver aux personnes que je trouve faible. Plus le sang est obscure et synonyme de souffrance, plus il est agréable à observer, quittant doucement son hôte en matérialisant la vie qui quitte son antre de la plus infâme des façons. C'est d'ailleurs ce côté supérieur et hautain qui provoque le malaise des personnes qui m'accompagnent lors de mes journées, je ne dis pas que je me plais à les côtoyer, ils sont des plus idiots et sont certainement le plus obscure de la société. Des vautours. Au delà de cette misanthropie sombre et de cette déconsidération envers l'esprit humain que je trouve pathétique, je considère les valeurs que l'on m'a enseigné comme des plus importantes. La foi en la paix, celle qui me pousse chaque jour à me lever pour remettre les pieds dans ce monde où ma vie peut à tout instant basculer. Je cache d'ailleurs ces sentiments que je trouve des plus idiots ou que je ne peux pas éprouver avant d'avoir changer son monde. L'empathie, la sympathie et l'amour sont des émotions que je me refuse bien que je les ressentent. Les regrets et la mélancolie alimente son armure comme dit plus haut, ceux-ci n'ont pas leurs places aussi me dis-je que le sacrifice est nécessaire pour devenir quelqu'un. C'est la naissance du mépris et du dédain.

« LA SAGESSE DES AUTRES N'A JAMAIS SERVI A RIEN. QUAND ARRIVE LE CYCLONE - LA GUERRE, L'INJUSTICE, L'AMOUR, LA MALADIE, LE VOISIN -, ON EST TOUJOURS SEUL, TOUT SEUL, ON VIENT DE NAÎTRE ET ON EST ORPHELIN. »

Le nindô est une des choses les plus importantes d'un shinobi, mais surtout d'un homme. C'est ce qui me pousse à me relever, à me battre tant que ce n'est pas trop tard. Autrement que devenir l'un des puissant de ce monde, ce qui est d'une banalité étonnante dans cette génération, je dirai dans un premier temps que c'est celle que l'on parle un jour de moi dans les livres d'Histoire. Mais surtout, suivre les pas de mon défunt père, philanthrope invétéré et mort à cause de cela, trahi par ceux qu'il aimait plus que tous. C'est aussi l'une des phases importantes de ma vie, question vitale et raisonnement logique s'en était suivi, j'en étais venu à décider que je voulais continuer son oeuvre, tenter de rendre cela possible puisque cela ne l'est pas pour le moment. Guider les hommes et leurs âmes vers la paix avec un grand P, mais aussi l'harmonie et la confiance entre les peuples. Cette même raison a été maintes et maintes fois altérée, converties et corrigées durant les dix années de services du jeune homme, quoi de plus normal. Il y a une chose qu'il déteste plus que tous et son but ultime est de le détruire, c'est les dirigeants extérieurs au village des ninjas, ces daimyos et leurs putes qui dirigent le monde économique et qui le font plonger, ces mêmes qui s'en rendent comptes, mais ne font rien pour l'empêcher. Oui, c'est un autres buts, empiler leurs cadavres, les uns sur les autres et les laisser se faire bouffer par des rats pour leurs priver d'enfer ou de paradis, les laissant simplement errant pendant l’éternité. Reconstruire dans l'ombre, cumuler les actions qui causeront le changement, je suis conscients que ma famille  s'est battu pour ce village, plus pour le sang qu'autres choses d'ailleurs, mais le fait qu'il se soit allier à la feuille au lieu de rester solitaire prouve une chose.. Il y avait un autre trucmuche qui les à pousser, je veux découvrir quoi ! Prospérer et perdurer le village de la pierre et sa famille, les rendre compatibles ! L'ombre de cela reste son besoin d'agir dans l'ombre, est-ce le reflet d'un pouvoir jamais obtenu, le rôle d'ombre des lumières qui jamais ne lui appartiendra ? Pourquoi s'obstiner à agir seul ? Je ne saurai moi-même le dire, je sais simplement que bien que je respecte, je n'apprécie pas. Le trône de la pierre reste un objectif optionnel que je ne me rosserai pas à oublier si le gamin fait de la merde. Je pense que ma phrase la plus apte à se propager provient de mon faux père (ce n'est certainement pas mon clan qui m'aurait transmis cette esprit) : ruse ou courage, qu'importe face à l'ennemi. ("Dolus an virtus quis in hoste requirat ? ").Je suis un excellent danseur et je possède une éloquence rare, capable de diviser ou multiplier les foules et de plaire par mes simples dire.


 
Histoire


0 > PROLOGUE

Aujourd'hui.

Dans la nuit sombre, un fin filet de fumée s'élevait aux cieux. Un homme observait celui-ci se disloquer aux grès du vent et d'une main désinvolte la désintégrait complètement en un mouvement de poignet. Il passa sa main dans ses cheveux gras et les ressortis en un soupir, il portait une nouvelle fois sa cigarette à sa bouche pour pétuner une dernière fois. Sa peau éprouvait un tremblement tandis que le vent se levait, un vent froid et violent dont la morsure glacée pénétrait la peau de Dyoniso. C'était lui, le chasseur. Il observait son monde au sommet d'une montagne discréditée par sa longue vie. Au sommet d'une des plus grandes forêts du monde shinobi, il observait son terrain de chasse et les quelques fumées obscures, crées par des hommes se croyant en sécurité, dont le foyer servait à cuire leurs repas. Comme le dieu de son monde, il ne laissait rien lui échapper et pouvait entendre la biche qui fuyait suite à la découverte de sa position, le loup qui ressentait qu'il ne devait être là et il voyait le petit lapin se cachant au fond de son terrier. Pourtant, un traqueur de sa trempe n'en avait que faire de créature misérable de ce genre, il se considérait comme un hyper prédateur, le prédateur ultime de ce monde, celui qui chassait l'homme. L'eau à la bouche, il laissait ses fines canines dépasser de ses lèvres et avalait une bouchée d'herbes euphorisantes pour sa constitution si particulière. Et sous cette lune si bellissime, il s'élança, laissant une débauche de sensation s'emparer de lui et un état de concentration extrême le consumer. Il ne faisait qu'un avec son environnement; c'était un dieu.


I > LE TISSAGE D'UN DESTIN HORS DU COMMUN.


Une géhenne divine déchirait Dyoniso. L'enfant ne pouvait rien faire. Le destin, cruel, le choisissait pour accueillir les quelques expériences de ces ères de paix.

Depuis longtemps maintenant les pays ressentaient une envie lancinante de créer des hommes plus puissantes, comprenant parfaitement que la main armée du Rikudô était faiblissante. La face des Shinobis évoluaient en cette ère, on voulait la paix, préserver celle-ci. Pourtant les Daimyo avaient raison, les ninjas puisaient dans la guerre l'essence même de leurs existences, sans conflit, les ninjas n'avaient aucune raison d'exister. Les plus sages des pays ninjas avaient donc raison de continuer d'avancer en accordant un point plus important aux avancées scientifiques et technologiques. C'était pourquoi, il y avait trente-deux ans, Dyoniso se retrouvait sur cette table de laboratoire. Une dizaine de seringues profondément enfoncée dans ses veines, déchiquetant sa constitution singe nu, perturbant son héréditée homo sapiens. Ces hommes étaient entrain de provoquer le destin. Ils se servaient des enfants du Rikudô pour créer l'homme parfait. Les yeux azurés de l'enfant resplendissaient dans cette obscurité pétrifiante, perçant l'ombre d'un espoir utopique. Ses cheveux tombaient négligemment de chaque côté de ce coussin métallique permettant la création de fines plaies sanglantes.

« Injecte lui le sérum BOI226 dans le bras droit et perturbe son système endocrinien avec une décharge au niveau du cervelet. Pour finir, injecte lui ce chakra directement dans un tenketsu du système central, le deuxième. » Disait l'homme, succédant ces ordres, une série de gémissement précédèrent le noir absolu. L'enfant ne tombait pas inconscient. Il semblait au-dessus de ça. Les gémissements se transformèrent en grognements sous le regard appréciateur des hommes en blouse. « Le cerbère de nos enfers est sur le point de naître. » S'exclamait-t-il. Le soleil ne perçait jamais les murs protecteurs du bâtiment. Dyoniso fut secoué par une tornade de sensation, ses poils s'hérissèrent et la sensation incroyable d'être connecté à tout ce qui l'entoure l'envahis. Il ressentait et puait le vivant. La nature l'habitait, cependant, c'était une drogue pour quelqu'un d'enfermé que de connaître la liberté. Suivant cette pseudo-liberté causée par une dose de dopamine sur-intensifié par les chercheurs, la rechute fut rude et l'enfant fut secoué d'une première série de spasme. « Il est perdu? » Déjà un déchet? L'enfant se le refusait, c'était un battant? Pourquoi se battre? Comment donner à un enfant l'envie de se battre? Par une dose de liberté, par l'envie de rêver. Personne ne le savait, mais il était sûr que c'était le cœur de cet enfant qui lui donna la force de résister à la mort. Un bip sonore plongea la pièce dans un silence navrant, personne ne paru blessé par les actes immondes de la faucheuse. Et pourtant, lorsque le battement du cœur repris de lui-même, les chercheurs s'autorisèrent un sourire. L'enfant était maintenant formaté pour accueillir ce chakra qui le modifieraient à coup sûr.

~~ Changement de personne.

Il y a 25 ans. → Il y a 23 ans.

Je le regardais. Un sceau relié par de nombreuses chaines m'empêchés de sentir mon corps. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi il me protégeait comme ça, il était cependant sûr que ce soir-là je prenais l'air pour la première fois. J'observais ce croissant de lune surplombant l'entièreté de l'univers, la liberté du vent et la domination des cieux. Et je le suivais. Cet homme mélangeant souffre et tabac, une odeur particulière lui collait à la peau. Cependant, en même temps que je sentais ces odeurs, je ressentais de la peur. Mon corps m'intimait de ne pas rester au près de lui. « Voici le gamin, Reikage-sama. » Voilà un nouvel homme. De quoi élargir mon cercle de connaissance. Je ne savais clairement pas comment me comporter. Cependant il y avait quelques choses de sûr, mes pas étaient emprunt d'une légèreté et d'une souplesse significative sans que je ne m'en rendes compte. « Savez-vous pourquoi il a survécu? » S'exprima le dit Kage. Je regardais autours de moi les quelques scientifiques qui se muèrent dans un silence révélateur. Voici donc la limite de leurs connaissances, ils auraient clairement mieux fait de me garder caché. « Quoi qu'il arrive, notre contrat prends de bonnes dispositions. Voici votre premier ultime ninja, nous financerons donc vos recherches à condition que vous nous en fournissiez tous les ans. J'espère que le prochain est déjà entrain d'être élevé. » Je ressenti une vague de tressaillement, l'hésitation emplissait l'air et je me retournais. Tous était envahit par le doute, cependant c'est le chef qui prit la parole. « Nous n'avons pas réussi à trouver un enfant qui résiste aux greffes... C'est une technologie nouvelle, nous n'en comprenons pas tous les aspects. Il nous faudrait plus de temps... » Le sourire qui étira le visage du Kage ne présageait rien de bon. « Alors c'est la fin de vos expériences. Tout est détruit dans la nuit, vous êtes trop dangereux. » S'exclamait-il en tapant du poing. Je m'écartais à temps pour éviter le tranchant d'une lame qui recouvrait les murs d'un plasma sanglant intolérant.

De légères taches sanglantes perlaient de mon visage pour rejoindre le sol, mon esprit se partageait entre peur et contentement. Cela signé ma liberté. « Il est temps de te donner un nom... En'ichi, qu'en dis-tu? » Je prenais le temps de la réflexion, sa question en était-elle une? Avait-elle une signification particulière pour lui et risquais-je ma vie à contredire mon nouveau détracteur? « Trop humain, mon seigneur. » Répondis-je, las. La réflexion, j'en usais assez couché sur mon lit de pierre, il était maintenant temps de renaître. « J'aime bien ton état d'esprit, tu as déjà compris que tu n'étais pas commun, c'est bien. Dyoniso, ce n'est pas mal alors. C'est le dieu de la vengeance d'une religion qui est né ici après la dernière guerre. » Répliqua-t-il. Je ne mis pas plus longtemps à acquiescer, parfait. Claquant des doigts, l'homme fit apparaître un homme à ses côtés. Je ne trembla même pas, l'ayant senti arriver. Ces capacités m'étaient communes, une stupeur non-caché secouaient les deux personnes en face de moi. « C'est ton nouveau tuteur, appelle le Roan. Il va te préparer à la place de t'envoyer à l'académie. On se reverra dans quatre ans, avant l'examen Gennin pour qu'il me dise ce qu'il en est. »

[...] Je découvrais la liberté avec cet homme et un souhait certain naissait en moi. Je voulais être un ninja pour pouvoir aller où je voulais quand je le voulais. C'était le début d'une aventure incroyable. On commençait par se diriger vers le pays des cascades. Et après quelques jours de marche, on se retrouvait la-bas. « Déshabille-toi. » Ordonna-t-il. D'abord désireux de prouver ma valeur, je ne souhaitais pas laisser échapper ma seul chance de changer de vie. Je m'exécutais donc, rapidement. « Tu es mal fait physiquement. Je pense que ton corps n'a pas beaucoup mangé ces dernières années, ni bu. Il faudra donc mettre un point d'honneur à bien te nourrir dans les mois qui viennent. Par contre, tu dois dormir énormément. Ta peau est sec, un bain d'huile végétale te fera du bien. Au niveau de l'entrainement, tu possèdes déjà un bagage génétique conséquent. Tu es souple et possède une musculature bien développé. Tu commenceras donc par t'habituer à lui. Chaque matin, tu devras courir après dix de mes clones et tous les attraper. Quand tu auras fini ça, tu enchaîneras par des pompes, des abdominaux et tu devras porter une pierre dont le poids variera vers le haut de la montagne, une fois en haut, tu chercheras les autres pour faire pareil. On te fera l'histoire et la géopolitique du continent, l'étude des plantes et leurs usages. Tu apprendras ensuite les matériaux utiles aux ninjas et les techniques de base pour te faire découvrir ton chakra. Je t'apprendrais à traquer, à chasser à chaque couché de soleil dès la semaine prochaine. D'abord, remet en état ton corps éprouvé cette semaine. »

[...] Le corps dégoulinant d'une sueur révélatrice d'un effort significatif, je me penchais au-dessus de mon maître qui dormait à la belle étoile. Cela faisait deux semaines maintenant que je m’entraînais tout en mangeant sainement. Étonnement, l'apport en viande rouge et en vitamine d'origine végétale, avec les petits plus de la forêt, mon corps avait pris deux ou trois ans. Des fins muscles commençaient à se dessiner et me donnait un poitrail imposant pou un garnement de mon âge, trapu, mais sec, mes muscles se dessinaient directement sous la peau. « Je pense que tu t'es bien habitué à tes nouveaux muscles, as-tu comprit le but de ces différentes épreuves? » Me demanda-t-il. « Sans pouvoir l'affirmer, je pense que la course en forêt me permet de m'habituer aux muscles gagner la veille et d'éliminer le mauvais de la consommation du soir tout en usant un début de réserve du déjeuner. Ainsi, je ne laisse pas de creux entre ma gagne de muscle de l'après-midi et le lendemain et m'épargne les courbatures par ce rodage. » Récitais-je. Il me répondit que c'était exactement ça et nous commencèrent les premières techniques de ninjutsu. « Prépare toi, ce soir nous sortons. » S'exclamait-il en un sourire.

« Ça n'a rien à voir, je les aime bien tes amis... Je veux juste pas les voire. T'as qu'à leurs dire qu'on les aime pas, on a pleins de choses à faire ce soir. Tant pis, non? » M'exclamais-je. Récitant une chanson que j'écoutais d'une oreille distraite l'après-midi même. Il osait un sourcil avant qu'un sourire joueur ne l'habite. « Tu as déjà appris les premières techniques de ninjutsu... Je t'en apprends une nouvelle demain si tu veux... » Il savait comment faire. Retenant une grimace difficilement, je me laissais aller en un rire expressif. Quel bel enfoiré. Du haut de mes huit années, je considérais ce tuteur comme une partie de moi.  « Tape m'en cinq, papy. » On m'habilla donc de façon classe, un style de vêtement que j'aimais particulièrement. Une chemise en soie blanche avec un bas de pantalon faisant contraste par son obscurité, les chaussures cirées donnaient un air de finalité à cet habillage. Portant la veste sur mon bras, je me donnais une véritable apparence de garçon gâté. Mes yeux azurés contrastaient parfaitement et ressortaient encore plus avec cette tenue. [...] « Les marchés leurs sont de plus en plus difficile. Le Kage met tout en oeuvre pour arrêter ces trafics d'armes et de drogues. C'est compréhensible, mais il va finir par s'attirer la colère des dirigeants de ces trafics et dieu sait qu'elles sont violentes. » Disait une magnifique femme aux cheveux noirs, du genre avec des formes, les yeux de mon paternel se baladait sur son corps comme s'il était son dû. Ce n'était pourtant pas son genre de regarder. [...] « Cette femme a à t'apprendre, mon enfant. Je venais d'ailleurs pour te le présenter, voici Dyoniso. » « Enchanté. » « Moi de même, beau garçon. » « Je vous remercie... Qu'a-t-elle à m'apprendre, sans vouloir vous vexer, bien sûr? » « A danser, à parler, à observer et à faire parler. Comment plaire et dire ce que les gens veulent entendre. Se déplacer dans une ville hostile sans se faire voir, les attitudes à adopter. C'est un quotidien et un ensemble de chose futile qui feront de toi quelqu'un d'impossible à attraper. » « Encore faut-il me convaincre. » « Je trouverai les mots quand il le faudra, mademoiselle. »

[...] « Tu vas voir, c'est cool. » Rigolait-il. Aujourd'hui, je me disais que je pouvais le croire. « Tu vas invoquer. » Ajouta-t-il. Je rigolais d'un seul coup beaucoup plus. Voilà une corde que je pouvais nouer à mon arc, des combattants en plus. Qu'allait-il me proposer? Des soldats de fer, des lions de feu ou encore les grenouilles, comme feu Naruto Uzumaki? Oui, mes connaissances historiques avaient énormément évolués. Comme d'autres. Il me montrait la série de signe à faire. [...] Dans un nuage de fumée, un chat apparaissait alors qu'on attendait un puissant rhinocéros. Celui-ci me regardait tout en s'approchant de moi d'une démarche nonchalante. Les félins étaient-ils aussi sage que dans les livres? « Laisse moi seul avec ton maître. » Soit, soit. Un chat qui parlait...

II > EXAMEN.


Il y a 20 ans. → Il y a 9 ans.

« Je ne suis pas entrain de vivre, je suis rentré dans une phase apocalyptique, je survis. L'espère humaine est entrain de me tuer, je me hais à faire parti des hommes. Ils me répugnent, mais sont-ils tous pareil? Méritent-ils que je creuse un peu plus dans cette ignominieuse humanité? Cette question reste désespérément sans réponse, j'attends un dernier signe de la vie, je me perds dans une essence divine. J'espère de l'aide pour me relever. »

Comme si ma vie n'était faites que pour ça... Observer les étoiles un soir de pleine lune, contraint à admirer la beauté d'un univers jamais atteint et qui alimentait sans-cesse l'imagination des hommes. On lui prêtait des légendes aussi nombreuses qu'irréalistes. Une vie après la mort, un pardon ultime, un dieu et un jugement dernier,... Le fantasme des hommes c'est qu'il y ait quelqu'un là haut qui les commandent et qui jugent de leurs actes, qu'ils puissent vivre tranquillement leurs vies tout en oubliant leurs mauvais actes et leurs consciences avec un simple "Dieu me punira/jugera/pardonnera.". Un moyen d'esquiver cette sensation... Ce bas-ventre se tordant avec force, procurant une intense sensation de mal-être. Je me négligeais totalement, accoudé sur le toit du Reikage, une cigarette à la bouche. Laissant le fin filet de fumée s'envoler, au grès d'un vent plus puissant avec l'incapacité de se détourner de cette route. Comme moi, une route tracée par mon destin, un futur forgé par le passé. Comment être plus contraint de vivre mal qu'en marchant en arrière? Les seules fois où je transgressai mon destin, passant outre l'autorité d'une entité divine quelconque, cela se finit en désastre malheureux. « Les plus grandes peines ne peuvent être pansées. » Un regard vitreux, je me sentais terriblement vide ce soir. Encore plus que d'habitude, cette cigarette immonde ne m'apportait pas plus de réconfort que le vide qui m'entourait. Rien ne semblait vouloir me sortir de ce monde obscure, un monde qui, malgré ses hauts et ses bas, me donnait terriblement envie de me laisser aller. Dans ses bras, une dernière fois, pour oublier à quel point j'étais seul. [ ... ] « Qui dois-je assassiner, que dois-je détruire, Reikage-sama. » Cela était là ma seule utilité, la seule chose pour laquelle je vivais et pour laquelle j'importais. Étais-ce pour cela que j’exécutais mon travail avec une intégrité sans faille? Ce n'était pas des "pour Suna" que clamait mon cœur, mon cœur ne battait plus, je ne l'entendais pas. Pas de murmure, aucune préférence, rien ne m'empêchait de faire ce que je faisais, mais une question me tiraillais... Pour qui? Meijin ne me disait rien, sa population m'importait peu... Je n'avais personne à protéger, personne à tirer vers le haut dans l'ombre. Je n'avais personne d'autre que lui. ???. C'était pour l'instant la personne qui me convenait le plus, il me donnait la force d'avancer.

« Faites-moi mourir. » Je laissais échapper cela sans aucune arrière pensée, c'était mon métier. J'avais été élever pour cela, mon esprit se faisait ronger par ces âmes errantes attendant d'atteindre ce "paradis" par le biais de ma mort. C'était faux, personne ne savait ce que je faisais, j'étais "ghost", un fantôme. Je régnais dans l'ombre, au courant de tout ce qu'il se passait dans le village jusqu'aux moindres faits et gestes de l'ancien Reikage. Je ne dormais plus. Cela se voyait certainement aux cernes qui entouraient mes yeux, cela faisait combien de temps? Deux jours, trois peut-être, non... Surement plus, écarquillant les yeux devant ce temps qui passent, ayant comme l'impression que la vie défilait et que je n'avais plus rien à dire à ce monde qui n'avait plus le temps d'écouter le fantôme de la société. Peut-être même qu'un an avait passé depuis mon dernier sommeil sans que je ne m'en rendis compte. Passant doucement ma main dans ma poche pour en saisir une boite contenant des pilules extrêmement dosé en nicotine. Un pur excitant, prenant ma sixièmes pilules depuis mon dernier sommeil, un homme normal ne pouvait en tenir que deux. J'étais plus que ça. Mes babines se retroussent lentement, un fin filet de bave s'écoulant le long de mon menton, j’essuyai celui-ci d'un bon mouvement du bras, afin de nettoyer cette fine incartade. Cette pilule possédait un petit "+" qui ne l'était que pour moi, de l'herbe aux chats. Une herbe euphorisante pour les chats et donc pour moi, possédant une constitution proche de ceux-ci. « Allez-y patrono, faites-moi disparaître de cette société de merde le temps d'une exultante histoire à conter à mon défunt enfant. » Je n'en avais clairement rien à faire, il me fallait quelque chose pour faire mes desseins, me tenir au courant du monde, apprendre d'autres choses, m'intéresser à d'autres populations. Mais surtout, sortir des néfastes villages cachés, si je pouvais servir ??? par la même occasion, c'était parfait. J'avais aujourd'hui l'envie particulière de créer une bombe artisanale pouvant faire péter un régiment, la construction de ce genre d'édifice m'est toujours particulièrement reposant. Quoi qu'une calmante soirée dans un palace du coin, bercé par le doux clapotis d'un sanguin s'écoulant au sol dans un rythme inspirant une toile de ruine. Et pourtant, je n'en tirerais aucun plaisir. J'étais terriblement vide, j'ai beau le répéter, je ne ressentais plus rien. J'en étais à me demander ce qu'était cette meurtrissure qui me brûlait le cœur.

[ ... ] « J'ai pour toi une mission importante, Dyoniso. Tu m'as déjà montré des compétences par le passé, bien que ton instabilité actuelle m'inquiète particulièrement, j'ai besoin de toi. C'est une mission secrète, je ne pourrais personnellement pas te sortir d'affaire si jamais tu te fais attraper et je serais obligé de mettre fin à tes jours pour t'épargnais de nombreuses souffrances. » J'hochais tranquillement la tête. « Que vous arrive-t-il, patrono, vous vous inquiétez beaucoup par ce soir de pleine lune. » Il ne souriait pas, son visage boursouflait affichait un sérieux sans faille. Pourquoi? Ce vide intérieur laissait place à la curiosité et aux questionnements, j'allais beaucoup réfléchir dans les jours qui viennent. « Je me suis particulièrement pris le choux, il y a pas longtemps, avec un politique du village, il remet en question mes choix et me trouve sanglant. Le retrouver mort dans un bain de sang porterait les soupçons sur moi, il me faut quelques choses de naturels. Tu vois? Tu es chargé de l'assassinat de Midorima Aidou, le chef du parti centre de notre pays. C'est une mission se rapprochant dangereusement du rang S, tu es rouillé, fais attention. » J'entendais ces derniers mots, mais déjà mon ombre disparaissait. Je n'étais plus là, il le savait, je l'écoutais, il le savait. Mon esprit était fermé, je me concentrais, l'observation, d'abord. Elle sera longue, éreintante, j'étais déjà épuisé. Mais le devoir m'appelait. « Je vis. » J'étais l'incarnation de l'eau, douce lorsque le vent ne se levait, brusque et destructrice lorsque de ses vagues celle-ci décidait de refaire les frontières du continent.

[...] « Aujourd'hui Dyoniso, en acceptant de devenir mon élève, tu m'offres trois ans de ta vie. Sache que personne n'aura d'emprise sur moi. Et tu as tord... Mon enseignement ne t’enlèvera aucun doute. Il se passera parfois dans la douleur, souvent dans le doute, toujours dans la difficulté. » Aujourd'hui perdu dans mes pensées, me remémorant ce qui faisait de moi ce que je suis. Comme je le disais déjà, je me tournais vers l'arrière, mais je ne faisais pas seulement ça, j'acceptais depuis bien longtemps d'être mon passé. Mon maître m'apprit beaucoup, la vie, sa dureté et ses récompenses. Ne jamais abandonner, c'était pour cela que je vivais toujours, il était important de remettre les points sur les "i" et de montrait le pourquoi de la survie. Je ne vivais que pour cette promesse et cette appartenance. L'abandon n'est pas une solution, disait-il. Jetant un coup d’œil vers mon bras, que la clarté éclairait subitement. Tout en relevant ma manche, je laissais mon regard flamboyant parcourir les courbes de ma peau pour finalement révéler une cicatrice fine qui ne cicatrisera jamais plus. Les cicatrices sont des erreurs qui a jamais graveront l'expérience. Bondissant, l'ombre m'habitant, je pénétrais dans le bâtiment, me déplaçant dans les couloirs, les sens en harmonies. C'était tout simplement obscène. Bondissant au plafond, agrippant celui-ci avec mon piolet d'un mouvement ample tout en dosant au mini-mètre mon chakra pour coller mes pieds. Je laissais passer un garde, personne ne devait me voir ou soupçonner ma présence. Retombant dès que celui-ci fut passer, je m'engageais dans un autre couloir, m'écartant de mes collègues-ennemis. Commençait l'observation.

... La biche buvait calmement son eau. Ses muscles prêt à bondir, sa truffe humide toujours diriger dans le sens du vent pour sentir ses prédateurs s'approchant par l'arrière. Mais il y avait moi, un sur-prédateur naturel. Derrière-elle, accroupit contre un buisson, le regard dur et les nerfs sensibles. Je ne devais pas la lâcher, il me fallait la suivre et connaître parfaitement son mode de vie pour finalement l'assassiner dans son sa famille, sans les faire fuir. C'était presque impossible. Pourtant, je le faisais, passant une partie de ma journée à la suivre, l'autre partie à taper dans l'eau dans faire jaillir des gouttelettes de celle-ci afin de tendre correctement mon arc. C'était finalement moi qui bondit le premier, souplement, prenant appui d'une main sur l'écorce d'un arbre, bandant mon poignet à ce moment-là pour porter l’entièreté de mon corps sur la branche. Il fallait penser à l'atterrissage, mon corps s’arquant dans un sculptural arc de cercle, les genoux fléchis, je me réceptionnais tout en tirant sur mes quadriceps afin d'amortir la chute. Pas de bruit, pas de fuite, une mort toujours plus maître dans le domaine qui est le sien. ...La biche aujourd'hui s’appelait Midorima Aidou. L'homme s'asseyait tranquillement dans son bureau, les jambes croisées. On décelait facilement à ses pommettes tombantes son âge se rapprochant de la centaine. Un homme bien vieux pour s'occuper de la politique de Meijin, me disais-je tout en servant ???. Cependant l'expérience faisait d'eux des vautours de la guerre, des hommes à l'expérience immense, plus même que ceux qui peuplaient les enfers puisqu'ils étaient en vie, eux. Ou du moins, lui. Armé d'un fin sourire, je restais sur ma position, dans l'ombre. L'observant toujours, ne le quittant jamais des yeux, clignant à peine ceux-ci. Ma vue légèrement plus accommodante, bon d'accord, beaucoup plus accommodante que celle des autres rendaient les documents normalement impossible à lire facilement déchiffrable. En lisant les mouvements de sa main et ceux de ses lèvres, je décelais facilement le fil de ses conversations et j'encrais mentalement les visages de chacun des protagonistes. Il me fallait retenir toute les phrases n'ayant aucun sens. Le temps de l'observation prendra ses jours, celui des choix se rapprochant.

... Elle était là, sa famille. Je la voyais parfaitement, passant une de mes mains dans mes cheveux pour remettre ma mèche rebelle sur le côté, je fixais ces biches. Armant mon arc avec quatre flèches, je me posais une question. Comment? Étais-je sûr que ces quatre flèches toucheraient leurs cibles, est-ce que cela valait le coup de miser une mission sur un coup de chance? Absolument pas. Pensif, je débandais celui-ci. Il me fallait une solution, l'action n'était pas au jour le jour, si aujourd'hui les occasions ne se présentaient pas, rien ne m'empêchait de préparer le lendemain afin que les occasions se présentent. Ou peut-être même rendre le lendemain fatal? Les poisons seraient facilement décelable pour ces cibles, il me fallait rendre indétectable l'utilisation d'un poison permettant de remonter jusqu'à moi. Il m'en restait une, jamais utilisé, pas travaillé. Mais face à cette situation, je pouvais peut-être rajouter une corde à mon arc? ...J'observais toujours, retenant son mode de vie. Je le connaissais, la seconde étape de la chasse n'était que plus difficile. Comment? Chaque cas nécessitait et nécessite ses prédispositions. Lui me demanderait du temps car, à peine fermais-je les yeux une demi-seconde pour humidifier ceux-ci, ce qui était parfaitement humain qu'un trio apparaissait dans le bureau. Haussant un sourcil pour regardait les cieux, jugeant approximativement l'heure à deux heures du crépuscule, environ cinq heures du matin. Haussant les sourcils, une question au bord des lèvres. « Qu'es-tu entrain de préparer contre ton pays, Midorima. » Ricanais-je silencieusement, un drôle de frisson parcourant l'échine. Comme un bon pressentiment pour la suite des événements.

Le vent faisait frissonner les arbres et la forêt semblait offrir chacun de ses secrets à mon être, je me sentais presque connecté à elle. Slalomant entre les arbres sans écraser ne serais-ce qu'une brindille, le pas léger, je suivais le trio d'homme. Il me fallait découvrir le Q.G. de ce que j'estimais être une organisation de malfrat local, ma mission officiel consistait à tuer Midorima. Ma mission officieuse consistait à mettre fin à ce mouvement, ce que je comptais faire, avant de tuer cet homme, j'allais détruire ces hommes. Il allait me falloir du temps, cela tombe bien, ??? ne me presse pas. L'observation ne finissait pas. Je me retrouvais finalement devant une battisse sombre, le genre qu'on trouvait dans un cauchemars mal engagé. Entouré de barbelé, sécurisé par de nombreux gardes, je me trouvais face à une véritable forteresse. Et dans la nuit je m'enfonçais, faisant d'elle mon être pour avancer plus facile dans cette niche grouillant d'humanité brillant certainement de l'or que leurs rapportent cette nuit. J'allais observer, à nouveau. Il me fallait connaître les tours de gardes et l'emplois du temps de ceux-ci, bien que l'intérieur de la forteresse risque de me rester fermer un bon moment. J'attendais donc. ...La biche se posait exactement au même endroit que d'habitude, dans cette prairie, laissant son ombre chevauchait l'herbes bougeant aux grès du vent. Bientôt sa famille vient la rejoindre, comme d'habitude. Mais l'habitude, je trouvais ça morose. Quand tout se ressemblait, c'était comme un puzzle qu'on, une fois les pièces assemblaient, se contentait de casser tout en en perdant les pièces. Et je faisais que tout ce qui se ressemblait ne s'assemblait plus un jour où l'autre. D'un coup, comme sortant de nulle part, une détonation retentit et un gaz indolore prenait possession de la clairière. Jetant une simple allumette sans me retourner, l'ensemble de ton terrain de chasse formait un tableau final d'une beauté aussi subjective que ma façon de penser. Me retournant sans plus de cérémonie, je m'enfonçais dans la forêt. L'ombre créait par les arbres laissait apparaître un homme et une paire de yeux jaunes aussi brillant que le soleil lui-même. Les bras ouverts, sa cape tombant mollement au sol, l'homme laissait apparaître un sourire satisfait... Un petit bip analogique me parvint. Ma puce faisait effet, une dernière technologie du coin, un micro introduit dans une fléchette que j'introduisais dans les coins inaccessibles afin de me tenir au courant. Ou sur les personnes, l'idéal serait qu'un jour je puisse user de celle-ci pour me rendre à un endroit inaccessible par le biais d'une téléportation. Enfin, c'était du domaine de l'irréel, si vous voulez mon avis.

J'appris un nom. « Haradatsu. » La colère, cela ne me causait que plus de maux... Midorima était-il le créateur de cette organisation et son leader ou, comme je le craignais, étais-ce plus que cela? Il me fallait d'abord être sûr de ça, sachant que s'il n'était pas un acteur principal, la mission passait avant tout et mes priorités changeaient une nouvelle fois. Il me fallait d'abord en apprendre plus, sachant que ce trio venait du bureau du vieux, il était certainement intimement lié à la naissance de celle-ci à la presque frontière avec le pays du feu. Il fallait maintenant avoir des noms, des visages et un mode de fonctionnement, un ordre aussi, surtout un ordre d'action. Qui crèverait en premier? Jetant un regard vers le bâtiment, je devais faire un choix. Devais-je en apprendre plus sur cette organisation ou d'abord me concentrer sur Midorima? Pensif, je me disais finalement que s'il gérait cette organisation, je l'apprendrais avant de le tuer.

[...] Et cela continuait. Le temps passait, je me devais de donner une indication temporelle dans mon dossier à la fin de cette mission. C'est pourquoi je sortais l'espace de quelques instants. Une fraîcheur n'égalant que la quiétude des lieux, cela faisait plus de trois semaines que je n'avais plus eu de contact humain, m'obligeant tout de même à m'occuper de moi-même un mercredi matin, c'était le milieu de semaine, je me disais que rien n'arrivait jamais en plein milieu de la semaine. Le vent frais caressait mon visage, il était tard, une nouvelle fois je passais ma soirée à l'observer et je faisais face à une conclusion des plus menaçantes pour notre pays. J'hésitais vraiment, l'homme passait son temps à travailler, pourquoi un homme dont la vie politique s'arrêtera bientôt se plongeait tant dans les dossiers? Pensif, je me retournais, il était vraiment en lien avec cette organisation qui voulait, si je comprenais bien, du mal à Suna. Après j'hésitais encore plus, était-elle dirigeable vers un côté positif du pays? Je repérais ses plus importantes visites, celles qui n'arrivaient que tard dans la nuit. Dans ma main? Une seringue dégoulinante d'un liquide obscure, il fallait à présent faire parler. Un rire sonore s'emparait de la nuit, faisant de celle-ci un témoin de mes manigances, m'accompagnait-elle? Je ne cessais de me le demander, elle m'habitait, je la sentais. Un rayon lunaire laissait mon visage être visible pendant un fin instant, on pouvait apercevoir une pilosité rousse et des yeux cernés. La traque était fatigante, terriblement, mais ce n'était pas une traque, c'était une chasse. Je misais à présent sur l'effet de surprise, il me fallait mettre un nom sur cet homme et il n'y avait qu'un moyen. J'allais devoir passer outre ce que mon rang me permettait, les archives, il me fallait les fouiller pour trouver un nom. Aokashu, la quarantaine, riche, peut-être n'était-il pas même ninja. La phase recherche ne mettait pas longtemps, Aokashi Yamatashi, un riche commerçant du continent. Un sourire au visage, je pensais que peut-être cet homme avait côtoyé mon père par le passé.

« La mort approche, Aokashu. » Ce que je m’apprêtais à faire était terrible, mais c'était pour le bien de mon pays, mon bien. Des fois, je ne me comprenais pas. Je me battais pour ce pays qui ne me connaissait pas, ??? était-il si important pour moi que j'écoutais et exécutais chacun de ses ordres? Allant jusqu'à faire plus que ma mission? La réponse était oui, complètement. C'était mon chef et ma loyauté était sans faille, pour une bonne raison, ne pas ressembler aux autres. La fidélité n'était plus rien dans ce monde. Avançant dangereusement vers mon passé, j'allais s'occupé du dit danger. Dans la nuit noir, uniquement toisé par la lune, j'enfonçais ma seringue dans le cou de l'homme. Son effet? Neutralisant, l'homme allait avoir un looong sommeil, si vous voyez ce que je veux dire. Le posant sur mon épaule, je bondissais, ma planque n'était pas loin, sortant presque de la population pour me mettre dans une vieille cabane, je préparais tout correctement, aucune trace. Des sacs poubelles me servaient à camoufler le tout et à l'insonoriser un peu plus, les fenêtres étaient cachées. Et je plaçais au centre de la pièce, sur une chaise et solidement attaché cet homme. Assis dans un coin de la pièce, je somnolais. Trouvant ce silence et cette présence d'une sérénité enivrante, je me laissais bercer au son d'une mélodie audible par ma seule personne. Bougeant la tête au rythme de celle-ci, les yeux fermés, d'un mouvement, je jette une petite pièce dont le contact et l'odeur les faisaient revenir à la réalité. C'était maintenant l'ère de la terreur, c'était ces moments qui faisaient de ce métier l'un des plus difficiles. Mes lèvres bougèrent d'elles-mêmes et tout en brisant le silence une question muette glaça le visage de ma victime. Me levant tranquillement, tout en époussetant la poussière sur mes habits. Je lui tournais autours, quand d'un seul coup je me décidais à baisser ma capuche. Laissant mon visage lui apparaître tout en retirant son scotch de sa bouche. « Inutile de crier, nous sommes complètement seul. » Rigolais-je. Passant délicatement mon doigt sur la naissance de son cou, j'approchais par l'arrière mon visage du sien, posant mon menton sur son épaule avant de rediriger mes lèvres vers son oreille. « Tu m'as vu, tu sais donc que tu vas mourir. Oups, je te l'ai appris? Tant pis, je veux m'entraîner. En fait, tu seras mon cobaye, une nouvelle technique d'interrogatoire. Ou plutôt de soumission. » M'exclamais-je gaiement.

[...] Il marchait tranquillement, rentrant dans le Q.G de l'organisation. Terriblement nerveux, je me demandais si celui-ci n'allait pas paraître réellement différent de d'habitude. Mon oreillette connecté à son oreille, j'utilisais mon micro pour lui communiquer les meilleurs réponses à offrir. « J'ai bu trop de café. » Répétait-il à la personne douteuse. Mon petit ricanement n'eut comme seul témoin la nuit. J'étais l'ombre, un fantôme. « Accède aux archives. » L’obligeais-je. J'étais son chef, il faisait ce que je lui demandais sans que je n'ai le contrôle sur lui. Il faisait tout ce que je voulais, j'avais une emprise total sur lui. C'était comme un clone de l'ombre de Konoha, sauf que cette technique ne consommait pas une goutte de chakra, bien sûr, je fouillais son esprit quelques jours plus tôt... Malheureusement, cela n'était pas quelques choses qu'il cherchait à prouver, Midorima faisait parti de cette organisation. Seulement, cela ne me suffisait pas, je devais voir le document sur papier, m'assurer de ne pas faire une erreur et je me devais de pouvoir fournir une preuve. J'en profitais pour m'allumer une cigarette, jouant tranquillement avec une nouvelle seringue. Qu'était-ce? Qu'était-ce que ce poison qui me permettait ainsi de contrôler un homme? Cela portait pourtant un simple nom, c'était l'euphorie. Le bonheur simulé, si court, mais si bon qu'une dépendance immédiate s'installe et ceux dès la deuxième prise. En ajustant une petite formule avec un chimiste du coin, je pouvais me procurer une formule correspondant exactement aux effets souhaités. De la pur, de la méthamphétamine, cet homme était un drogué et il était en manque. Un terrible manque provoqué par trois prises par jour pendant une semaine, mon salaire me permettait largement cela. Surtout que je me faisais moi-même ces poisons et que personne n'était contre, n'étant pas destiné au marché. Mais aujourd'hui, elle faisait enfin ses preuves puisqu'à peine une heure plus tard je possédais au creux de mes mains de quoi inculper Aidou, le politicien. Mais ??? était clair, c'était la mort qu'il demandait.

« Haradatsu, vous avez trahi Reihou. » Ricanais-je. Mon pantin à mes côtés, je lui donnais des consignes claires, il avait le temps pour fuir, c'était une mise à feu terriblement lente. Quel fourbe menteur, en l'espace de dix secondes tout le Q.G s'écroulera sur lui-même, emportant hommes et secrets avec lui. Tous le monde oubliera cette rébellion et, par la même occasion, cela dissuadera quiconque d'entreprendre ce genre d'action. Haradatsu puis Midorima. Comment cela va sauter? C'est simple, deux gaz seront apposé l'un à l'autre dans un baril au-dessus d'un empilement de TNT, en plus de cela, on en apposera à différent endroit stratégique de la battisse qui après l'explosion causeront l'écroulement de l'endroit. Je le laissais faire, tout en époussetant ma veste je me retournais, ma mission continuait, c'était maintenant Midorima Aidou qui devait prendre? Comment concluais-je cette mission? C'était simple, j'avais besoin d'un poison qui mettrait du temps pour agir, cela commencera par de la fièvre et de la difficulté à travailler, du sommeil. Deux à trois jours après, des diarrhées et un bon rhume, pour finir? La mort, simplement, mais à l'aspect naturel, ce poison est difficilement décelable et cela passera comme normal pour ses proches, il travaillait trop.


III > GRANDEUR & DÉCADENCE.


Il y a 9 ans → Il y a 2 ans.

Tout à un début, même si l'on doit parfois raconter la fin pour montrer qu'on a pas eu d'autres possibilités lors de certains choix.
Dans une attitude des plus nonchalantes, ma joue enfonçait négligemment dans la paume de ma main. Je perdais mon regard dans un alcool orangé que je secouais impassiblement. Je me décidai finalement à ingérer celui-ci, appréciant la blessure ardente perdurant le temps de quelques instants. Mes cheveux humides, mes joues irritées et pourtant un regard resté inflexible. C'est alors qu'une femme s'approchai, complètement dénudée, enjôleuse. Ce furent mes deux orbes rougis par l'alcool qui vinrent fixer la demoiselle, mi-surpris, mi-choqué.. « Hey beau-gosse. » Je réprimais une grimace, pas qu'elle ne me plaisait pas, mais... Non, il ne fallait pas retomber la-dedans. Le raisonnement entaché par une quantité d'alcool ingérée disproportionnée, j'avais le corps froid, mais l'âme brûlante. Mes pensées s'embrouillèrent et se mélangèrent dans un amalgame luxuriant. Pourquoi ne pas se faire plaisir, ne serait-ce que lors d'un soir ? Finalement naissante, l'excitation se mêlait à l'envie, étouffant la raison sous un pécher prohibé. La convoitise m'empêchai de prendre mon temps, une caresse, un sourire, et c'est finalement sur le lit que ça se terminai.

Entre embrassades et gémissements, mes yeux rencontrèrent les siens, tordu en un plaisir interdit. Deux yeux émera... « Dégage. » Réclamais-je, m'asseyant sur le lit, les deux mains sur la tête, réprimant difficilement un haut le cœur. «... Tu me plantes comme ça ? Cela devait-être le contraire, putain ! » Cela ne me blessai pas, les mains tremblantes, je me dirigeais difficilement vers la fenêtre. Une nouvelle crise... Je me sentais incroyablement faible... si soudain, m'efforçant de calmer ma respiration, de reprendre mes esprits. Je n'entendis pas même la porte claquer, mais m'en rendis compte par la bourrasque qu'elle créai. Difficilement, je sortis un tube et de quoi composer rapidement une cigarette, les doigts chancelants, rien de plus délicat. Il m'était presque impossible de la rouler correctement, l'esprit embrouillé, je m'écroulai finalement contre le sol. [...] « Putain, putain... Putain, putain, putain, putain !» Finis-je en un hurlement. Le trop plein, une colère sourde dirigée contre soit-même. Une table s'écrasai contre le sol, une chaise volai contre la porte et finalement l'odeur du tabac brûlé se répercutait dans l’entièreté de la chambre, les cendres s'écrasèrent contre le sol, les souvenirs affluèrent, comme un courant impossible à stopper, quelque chose de... nécessaire?

[...] Il me trouvai là, étendu contre le sol, le regard vitreux, faible. S'élançant contre moi, c'était presque haineux qu'il m'adressai des paroles acerbes, remplies de mépris envers ma personne. L'un des derniers à s'occuper de moi. « Finalement, heureusement qu'elle est morte, le garçon dont elle était amoureuse n'était que façade, tu ne l'aurais que déçu. » S'exclamai-t-il. Je me stoppais net dans ma démarche, prêt à me rouler un autre tube malsain. Me retournant lentement pour le fixer, lui, presque peureux des mots qu'il eut le malheur de laisser échapper. Le combat aurait pu être long, il m'aurait certainement vaincu, du fait de ma force faiblissante depuis de nombreuses années, car non-entretenue. Je n'étais plus le ninja rouge reconnu dans des contrées nombreuses du monde, mais un simple homme blessé qui se délaissait avec le temps. Ce furent ses sentiments qui l'entravèrent, incapable de se défendre, le souvenir persistant de mon épouse s'élevant au-dessus de moi. La main au creux de son cou, sa nuque contre le mur. Cela faisait longtemps maintenant je n'avais pas ressenti un tel mélange de colère et d'obscurité déferler en moi, bousillant chacune de mes résolutions. « Fils de chien, je t'interdis. » J'anéantissais même mes valeurs, frapper un ami. Que pensais-je, je n'avais plus personne. Mes abdominaux se bandèrent, ma cuisse forçait sur mon fémur et mon genoux perforai presque son ventre. Le collant encore plus contre le mur et le laissant en suspens pendant de longues secondes. C'est encore plus dérangé que je quittai l'auberge, pas encore totalement dégrisé, le spectre de la mort tranquillement installé sur mes épaules.

[...] Avait suivi cette mission, de longues années de pause dans ma carrière Shinobi et donc des pertes de grade et de niveau. Le jeune homme est donc vieux, lorsque le besoin de reprendre du service se fait sentir. C'est le début de mon histoire sur ce forum. C'est l'histoire de mon histoire, celle de Dyoniso.


Dernière édition par Dyoniso le Lun 7 Juil - 23:55, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: DYONISO. emperador de la hoja   DYONISO. emperador de la hoja I_icon_minitimeLun 7 Juil - 22:05

Bonsoir et bienvenue à toi sur le forum ! Comme sur l'ancienne " version " de notre forum, tes capacités ne sont pas acceptable. Tu pourras y trouver le pourquoi ici : https://narutonomirai.forumactif.org/t3-specialisation-styles-de-combat-natures-de-chakra-jutsus

Que j'explique : Chaque développement de n'importe quel sens, est compté comme une capacité remplaçant les Hidden Jutsu et Kekkai Genkai. Ainsi donc, tu ne peux avoir qu'un seul sens sur-développé à ton actif. A choisir entre l'ouïe, l'odorat, la vue ou autre (bien que je t'avoue que le toucher ne te servirai à rien). Ce qui sera ainsi donc compté comme une spécialité, au même titre que les Hidden Jutsu et Kekkai Genkai.

En ce qui concerne le Senjutsu, nous avons mis seulement 2 utilisateurs maximum de Senjutsu (1 serpent, qui est réservé au prédéfini Gardien de Kinpaku) et 1 Crapaud qui reste libre. Tu ne peux donc pas inventer ton propre senjutsu, le seul restant est celui du crapaud. Pourquoi ? Eh bien, comme la démontré Kabuto dans le manga, les statistiques et les effets du Senjutsu changent celons l'invocation (Les effets diffèrent entre celui du Crapaud et du serpent). Entre autre, cela reviens à te laisser inventer ton propre Senjutsu.

Qui plus est, si nous te laissons le Senjutsu " Neko ", celui du crapaud est délaissé et inutilisable alors qu'à l'heure actuelle, c'est le seul Senjutsu confirmé avec celui du Serpent. Il est donc plus préférable et logique (un tout petit peu on va dire), de laisser le Senjutsu Crapaud disponible et de refuser les inventés. J'espère que tu comprendras ce que j'ai évoqué. (PS : Au cas où tu n'aurai pas remarqué, le Senjutsu compte aussi comme une spécialité et remplace le Hidden Jutsu / Kekkai Genkai. Tu ne peux donc que choisir entre le Senjutsu et le développement d'un Sens)

En ce qui concerne ta Fiche, un de mes collègues va venir y jeter un oeil et la juger. Si tu souhaites modifier quelque chose, précise le à la suite de ce poste, ou alors ta fiche sera noté comme cela, malgré mes remarques (a tes risques et périls, car nous sommes extrêmement exigeant pour le Rang A ou S). A toi la parole...
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MessageSujet: Re: DYONISO. emperador de la hoja   DYONISO. emperador de la hoja I_icon_minitimeLun 7 Juil - 22:14

Noooon, pas de problème. Autant pour moi. Comme dit, la présentation date de l'ancienne version, j'voulais l'utiliser au moins une fois, le personnage me plaisant. C'est vrai que ce personnage est difficile à accepter, et ne rentrant pas dans les normes du forum, je change. Parce que j'ai trouvé quelque chose de bien plus intéressant, ce poste de chef des hôpitaux m'inspire merveilleusement. So, si vous trouvez des incohérences dans le texte, cela viendra de ce changement. Le rang A me suffit, je ne prenais le S que pour avoir le Senjutsu. Du coup, j'vais changer quelques trucs, MAIS considérez ma présentation comme terminé.
Si cela ne suffit pas pour le rang demandé, en fonction de vos critiques, je ne rechignerai peut-être pas pour un teste RP, proposez toujours.
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MessageSujet: Re: DYONISO. emperador de la hoja   DYONISO. emperador de la hoja I_icon_minitimeLun 7 Juil - 22:16

Très bien, je te laisse donc faire les modifications, tu n'auras qu'à prévenir que les changements ont étaient apportés et un admin passera par là Smile
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MessageSujet: Re: DYONISO. emperador de la hoja   DYONISO. emperador de la hoja I_icon_minitimeLun 7 Juil - 22:48

Dyoniso a écrit:
Du coup, j'vais changer quelques trucs, MAIS considérez ma présentation comme terminé. Donc jugez-là, je ne vais entièrement retaper le récit, j'ai déjà relu et apporté des modifications assez longue.
Si cela ne suffit pas pour le rang demandé, en fonction de vos critiques, je ne rechignerai peut-être pas pour un teste RP, proposez toujours.
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MessageSujet: Re: DYONISO. emperador de la hoja   DYONISO. emperador de la hoja I_icon_minitimeLun 7 Juil - 23:06





Notation


Qualité
Welcome back ! Je vais m'occuper de ta présentation en espérant que tu as apporté les modifications nécessaires. Je suis assez satisfait de ton style d'écriture enfin du moins je ne doutais pas de ton niveau qui est extrêmement bon malgré les fautes de français qui peuvent gâcher la lecture même si ce n'est pas un grand gêne. Néanmoins, il y a toujours des phrases incompréhensibles ou plutôt qui sont mal écrites, pense à te relire à haute voix ou avant de chercher un synonyme dans ta tête ou un site vérifie s'il peut se marier avec la phrase même si ça peut faire Voltaire, mais comme je te l'ai dis embraser = enflammer. Ce n'est qu'un petit point, mais ça reste quelque chose qui touche la compréhension donc la qualité alors fais gaffe petiot. Sinon essaye d'expliquer plus clairement les choses, il faut prendre son temps et chercher l'inspiration d'ailleurs ton histoire m'a bourré le crâne alors que j'ai mal, bref cool my life. Mais l'orthographe reste correct, en fait c'est ce qui m'a surpris puisque je te connais même s'il y a quelques fautes qui ne sont pas trop gênantes pour le lecteur ça reste bien fluide ! La seule chose c'est que ta compréhension n'est pas encore acquise et que tes tournures sont mal construites et la raison c'est par un manque de relecture ou rédaction trop vite ce qui donne mauvaise image. Je n'ai rien à dire d'important en fait, tes descriptions ne sont pas assez complète pour moi tu es hors-sujet pas mal de fois, ce que l'on recherche c'est que tu développes tes points de caractères et pas autre chose. Déjà on voudrait savoir pourquoi tu es comme ça, mais sinon on sait comment est ton protagoniste malgré les inconvénients plus haut. La ponctuation est correct aussi, rien à dire même s'il y a des problèmes sur certaines lignes mais qui sont rares et pas vraiment gâchées. La conjugaison très bien respectée, tu as bien appris ta leçon fiston (rime!)
Non plus sérieusement rien à dire sur ce point, aucune faute de français sur ça du moins sur ce que j'ai lu ou peu qui ne sont bonnes qu'à être ignorées. Le vocabulaire soutenu, beaucoup trop et c'est ce qui gâche un peu trop la présentation car certains mots ne devraient pas être utilisés puisqu'ils sont pas du tout passables dans une rédaction enfin plus ou moins puisqu'il ne faut pas trop pousser...
Quantité etc.
La quantité est beaucoup trop élevée et on ne recherche pas vraiment ce nombre de mots ou de lignes ce qui m'a fait perdre du temps et ce sont des (ce que j'ai pu apercevoir puisque j'ai lu) explications futiles, elles ne servent à rien et ça me donnait envie de survoler ta présentation... Je n'ai pas grand chose à dire sur ce point, en fait il est beaucoup trop haut et c'est PLUS que respecté pour ton grade (S!)
Le point négatif c'est que ton texte n'est pas du tout aéré la fluidité disparaît à cause de ça et c'est trop lassant dans le sens où on peut se perdre en sautant de lignes ou en relisant la même deux, trois fois. Pas grand chose à dire là-dessus...
Conclusion
Et bien pour conclure suite à mon avis plus haut ou mes critiques qui t'aideront pour tes futurs rps, du moins je l'espère. Ton niveau rp n'est pas suffisant pour être rang S malgré les points positifs qui sont plus nombreux j'étais indécis concernant le S mais mon avis penche un TOUT PETIT PEU pour le rang A. Mais les points négatifs restent importants pour un grade pareil qui est assez puissant puisqu'il offre trop d'avantages et une assez grande puissance à un protagoniste surtout inventé. Dis-toi que inRP si tu améliores ça, le rang S tu le mérites et puis tu peux l'avoir à l'aide des expériences ! Go fiche technique et cetera. Tu as des liens utiles sur mon codage de notation. Fais attention à propos de la quantité et n'oublie pas d'aéré tes textes ça gâche la lecture, beaucoup trop en fait. Bon rp à toi.
Liens pratiques

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